Le poème « Aus dem Moorboden » de Paul Celan illumine désormais sous forme de fresque un lieu public, à Paris, rue Tournefort. À lire : un texte du maître d’œuvre, l’artiste mural Giuseppe Caccavale. À écouter : une conversation entre Eric Celan, Bertrand Badiou et les élèves de l’ENS Ulm et des Arts Déco qui ont réalisé cette fresque.
Le « beau livre » est-il soluble dans l’epub ? Non, mais le contraire est vrai, si l’on pense et designe un ouvrage numérique qui offre un terrain de jeu à la « création distribuée ». Sous la houlette de Francesca Cozzolino et Lucile Haute, un objet multimédia d’un genre nouveau est né, qui a pour héros l’artiste-graphiste Pierre di Sciullo.
Plasticienne, chorégraphe et surtout styliste, Céline Shen s’intéresse à la vie historique, intime et fictive du vêtement. Nourries d’une éthique de la rencontre, ses créations partent du local et de la tradition pour s’ouvrir au cosmos : « L’aura est cette empreinte invisible, impalpable que porte en soi chaque vêtement. »
Peut-on « panser » avec Boris Vian ? Comment échanger ses microbiomes ? A quel rituel les patates sont-elles sensibles ? Cinq designers et sorcières ont concrétisé des projets qui nous reconnectent au vivant et en particulier autonomisent le corps féminin des diktats médicaux. Retour sur une série de rencontres qui donnera lieu à une exposition à la Villette.
Un « fanzine » à télécharger où se surimposent croquis personnels de maisonnées, pollutions publicitaires et textes théoriques ou de fictions. A la clé une question : comment se construisent et s’abîment nos regards ?
« Bouphonie » était une expo curatée en janvier 2021 par Juliette Nier et Arslane Smirnov au 6b à Saint-Denis, sous forme de pièce en quelques actes. C’est désormais aussi un site, plein d’entretiens avec des artistes émergents, à la croisée du design et des arts plastiques. Une histoire de transitions, de collectifs et de cocréation.
Un ensemble de photos ratées, décadrées, effacées. Elles prétendent être autre chose que ce qu’elles sont. Elles font bande. Si on les ouvre toutes en même temps, un monde peut s’installer et une grande « vacance ». Formes, couleurs, textures répondent à notre paranoïa. Cliquez sur les chocolats.
Le poème « Aus dem Moorboden » de Paul Celan illumine désormais sous forme de fresque un lieu public, à Paris, rue Tournefort. À lire : un texte du maître d’œuvre, l’artiste mural Giuseppe Caccavale. À écouter : une conversation entre Eric Celan, Bertrand Badiou et les élèves de l’ENS Ulm et des Arts Déco qui ont réalisé cette fresque.
Le « beau livre » est-il soluble dans l’epub ? Non, mais le contraire est vrai, si l’on pense et designe un ouvrage numérique qui offre un terrain de jeu à la « création distribuée ». Sous la houlette de Francesca Cozzolino et Lucile Haute, un objet multimédia d’un genre nouveau est né, qui a pour héros l’artiste-graphiste Pierre di Sciullo.
Plasticienne, chorégraphe et surtout styliste, Céline Shen s’intéresse à la vie historique, intime et fictive du vêtement. Nourries d’une éthique de la rencontre, ses créations partent du local et de la tradition pour s’ouvrir au cosmos : « L’aura est cette empreinte invisible, impalpable que porte en soi chaque vêtement. »
Peut-on « panser » avec Boris Vian ? Comment échanger ses microbiomes ? A quel rituel les patates sont-elles sensibles ? Cinq designers et sorcières ont concrétisé des projets qui nous reconnectent au vivant et en particulier autonomisent le corps féminin des diktats médicaux. Retour sur une série de rencontres qui donnera lieu à une exposition à la Villette.
Un « fanzine » à télécharger où se surimposent croquis personnels de maisonnées, pollutions publicitaires et textes théoriques ou de fictions. A la clé une question : comment se construisent et s’abîment nos regards ?
« Bouphonie » était une expo curatée en janvier 2021 par Juliette Nier et Arslane Smirnov au 6b à Saint-Denis, sous forme de pièce en quelques actes. C’est désormais aussi un site, plein d’entretiens avec des artistes émergents, à la croisée du design et des arts plastiques. Une histoire de transitions, de collectifs et de cocréation.
Un ensemble de photos ratées, décadrées, effacées. Elles prétendent être autre chose que ce qu’elles sont. Elles font bande. Si on les ouvre toutes en même temps, un monde peut s’installer et une grande « vacance ». Formes, couleurs, textures répondent à notre paranoïa. Cliquez sur les chocolats.